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Trop, c’est trop (bis)
Jeudi 27 juin 2024, par , dans la rubrique Jean GELBSEIDEN
Pas de descriptif, le texte se suffit à lui-même
Lire la suite »Jean Gelbseiden « D’amour et de sang »
Jeudi 16 mai 2024, par , dans la rubrique Le poète du jour
- D’amour et de sang
- Poèmes de Jean Gelbseiden
Illustrations de Pierre Lohner
« D’amour et de sang » est un recueil de poèmes dont l’inspiration est nommée par le titre. La vie est ainsi cette alternance entre les amours du poète et les blessures que l’Humanité s’inflige à elle-même et qu’elle transfère à la sensibilité du poète. Sensibilité qui le caractérise comme « un écorché vif », rejoignant ainsi la cohorte innombrable des poètes qui décrivent et déplorent le monde tel qu’il est, dans ses luttes pour la liberté de dire et de vivre sa vie à son gré… Ainsi « une fois revenu sur son podium, le poète n’est en fait qu’un funambule chanceux » qui a évité miraculeusement la chute vers le capitalisme et ses compromissions…
Le recueil, illustré de 6 dessins de Pierre Lohner, réalisé dans un papier bouffant de très belle facture est en vente sur commande par l’adresse « mots.passants orange.fr » au prix de 30 euros livraison à votre adresse comprise.
Léon Bralda « Pour abreuver le cri »
Lundi 29 avril 2024, par , dans la rubrique La revue « Florilège »
Tiré de « Poèmes pour l’Ukraine », édité par la revue Florilèges et son dynamique initiateur Stephen Blanchard, ce poème en prose est une sorte de « thrène » où se déploie l’horreur de la peste humaine, indéfiniment recommencée, à peine combattue, sinon même encouragée par les « suppôts de Satan » que sont pour la plupart ceux qui ont à charge de protéger la vie sur cette planète, et qui font au contraire en sorte qu’elle dérive vers un cataclysme généralisé, toute honte bue…
Transe, souffrance et douleur sont ainsi exprimées dans cette courte mise en accusation, à peine voilée ! Il en faudrait hélas bien plus pour que ces forcenés prennent conscience de leur impéritie… Merci donc à Léon Bralda de son témoignage (...)
Gagnez des recueils « En savoir plus »
Dimanche 14 avril 2024, par , dans la rubrique ÉVÉNEMENTS
Vous visitez le site de Mots Passants, c’est donc que vous appréciez la poésie…
Et si cette fréquentation vous donnait droit à gagner un recueil ?
Celui où figure le poème que vous allez commenter, ou tout autre recueil qui figure dans la bibliothèque de Mots Passants.
Toutes les explications vous sont données dans la suite de cet article (...)
Antun Branko Šimić « Le Regard des pauvres »
Lundi 8 avril 2024, par , dans la rubrique Galerie librairie « L’Ollave »
Il est de tout temps, le regard des pauvres n’osant regarder l’avenir qui pour eux n’existe pas… « Leur vie est un abandon et une angoisse ». Combien sont-ils aujourd’hui, à quémander un morceau de pain, un coin de chaleur, une miette d’humanité ? Alors oui, un sourire serait le bienvenu quand ils cherchent « comment sortir de cet espace ».
Gagnez un recueil pour votre commentaire !
Dimanche 7 avril 2024, par , dans la rubrique Gagnez un recueil pour votre commentaire
VOUS AIMERIEZ GAGNER UN RECUEIL DE POÉSIES ?
Rien de plus facile !
Il vous suffit de rédiger et poster un commentaire au dessous d’un des articles littéraires de notre site (par le lien « Réagir à ce texte »).
Les commentaires seront lus chaque semaine par le comité de lecture de « Mots Passants » et appréciés en fonction de leur pertinence.
Une fois par mois, celui qui sera jugé le plus juste donnera à son autrice ou son auteur le droit à un recueil, soit du poète concerné, soit appartenant à la bibliothèque de Mots Passants.
Parme Ceriset « Me fondre au temps »
Mercredi 3 avril 2024, par , dans la rubrique La revue « Possibles »
Pour prolonger l’attribution du prix Jacques Viesvil 2023 attribué par la Société des Poètes Français, dont nous félicitons Parme Ceriset, nous publions l’un des poèmes publiés dans le même numéro 31 de la Revue « Possibles ». Vous trouverez en bas de son poème la référence à l’article qui renvoie à ses créations ;
« me fondre au temps » est une ode à la nature, dans la conscience que nous sommes ses enfants, que nous appartenons à « La pacha mama » et que nous pouvons nous y fondre avant qu’elle nous rappelle à elle…
Joëlle Pétillot « Au bord du champ »
Mardi 2 avril 2024, par , dans la rubrique La revue « Possibles »
Jeux d’enfants et d’adulte, à cache-cache « pour de faux »… Voire ! Ils ont grandi et se sont cachés dans leur vie d’adulte ; alors les parents continuent à les chercher, sachant là encore où ils sont, respectant leur vie de grands regrettant les foins coupés où se dissimulaient les petits… Ainsi passe le temps ! Regrets ? Pas vraiment, nostalgie plutôt d’un passé trop vite éloigné, même si l’araignée continue de tisser sa toile, ailleurs. Pérennité de la vie, travaux merveilleux des arabesques géométriques, issus d’un savoir éternellement gravé dans l’instinct de ces merveilleux et mystérieux arachnoïdes…
Tel est le conte réel que nous tisse Joëlle Pétillot.
