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En réponse à :
Françoise HÉNAULT-GUERRAND, 7
26 juillet 2014, par
L’exil… N’est-ce pas cette puissance noire qui nous retire, nous enlève de nous-mêmes à cause d’un « peuple »-qui n’est pourtant que le nôtre-qui nous veut du mal, peuple de « la guerre », peuple de « la peur », de « la colère », de « la haine », qui sont justement nos propres sentiments, qui nous ont éloignés de notre vrai pays, où « la mort/évitait nos chemins » ? Mais nous, « pèlerins sans bannière », tenons bons avec cette « espérance en nous/endurante et tenace », qui fait que nous ne désespérons pas et continuons. Ceci ne regarde-t-il que les poètes, tels Françoise Hénault-Guerrand, ou certaines autres personnes, ou bien chacun de nous ? Mystère, mystère…